
L’écriture web a quelque peu modifié les habitudes des bureaux de presse : sur certains sujets, il faut être le premier à sortir la version numérique et le temps manque souvent pour la relecture et la correction.
Ainsi, il n’est pas rare de revenir sur certains articles après publication : soit parce que le journaliste ou un de ses collègues s’est rendu compte d’une erreur, soit parce que les lecteurs l’ont signalée.
Le Temps publie un article très intéressant à ce sujet, en toute honnêteté et transparence. Les corrections de fond sont indiquées autant que possible au lectorat, à l’aide d’astérisques. Les modifications orthographiques ne le sont pas.
Un journaliste peut être amené à revenir sur son écrit pour d’autres raisons : demande d’anonymat, décision judiciaire…
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