Quel est le point commun entre fillette, frérot, mon chou et chien-chien ?
Certes, ce sont des surnoms, des petits noms affectueux, des appellations familières, mais comme j’aime les jolis mots peu usités, sachez qu’il s’agit plus précisément d’hypocoristiques. Et c’est quand même assez classe de dire : « Moi, pour appeler mon fils, j’utilise l’hypocoristique « lapin » ! »
Le CNRTL nous fait part des différents procédés permettant de créer des termes hypocoristiques :
– le suffixe : fillette ;
– le redoublement : fifille ;
– l’abrègement des prénoms : par aphérèse (Sandrine pour Alexandrine), par apocope (Steph pour Stéphane), par syncope (Mia pour Maria), par duplication (Popol pour Paul) ;
– le choix de termes « conventionnellement hypocoristiques » : mon petit poulet.
Connaissiez-vous ce mot ? Quels termes hypocoristiques employez-vous pour désigner les personnes que vous aimez ?