
L’erreur porte sur l’usage du pronom relatif « dont », lorsqu’il reprend un nom ou un pronom précédé de la préposition « de ».
En effet, « de » reprenant déjà le pronom ou le nom en question (dans notre exemple, « tranquillité »), il est redondant d’utiliser « dont » qui signifie également « de qui, de quoi, duquel, de laquelle, desquels, desquelles ».
On retrouve souvent cette erreur dans la tournure : « C’est de cela dont il s’agit. » Il convient d’écrire : « C’est de cela qu’il s’agit » ou « C’est cela dont il s’agit ».
Dans notre exemple, les tournures correctes possibles étaient donc : « Un peu de tranquillité. C’est de cela qu’il avait besoin ce soir » ou « Un peu de tranquillité. C’est cela dont il avait besoin ce soir ».
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